«... une ruelle si sombre, si étroite, si tortueuse, que je n'osais l'emprunter seule. Julien m'accompagnait, même si lui non plus n'en menait pas large en la traversant. Elle sentait le pipi de chat et les poubelles mal fermées. Les cordes à linge grinçaient au dessus de nos têtes et nos pas résonnaient sur les dalles croches. Mais elle nous attirait. Peut-être justement à cause de son coté mystérieux... »